Même lorsque le praticien n’exerce pas, les charges du cabinet, à savoir le loyer, les emprunts bancaires, les crédit-bails, le salaire de l’assistante, les charges sociales personnelles etc. continuent d’être dues....
Dès lors, le professionnel en incapacité de travailler devra assumer non seulement ses besoins personnels et ceux de ses proches, mais également les charges fixes de son cabinet.

À cet effet, le chirurgien-dentiste devra organiser son remplacement au cabinet et se rapprocher de sa caisse de prévoyance : la CARCDSF, afin de percevoir ses indemnités journalières.Tout en ne négligeant pas de prendre soin de sa santé !

 À savoir
Sur demande, les cotisations URSSAF (après un délai de 3 mois) et CARCDSF (après un délai de 6 mois) peuvent être suspendues.

Assurer son remplacement

Le praticien, en arrêt de travail, a vocation à revenir travailler au cabinet. Il est donc essentiel qu’il conserve sa patientèle et son degré de satisfaction. Même si ce n’est pas idéal, le meilleur moyen pour cela reste de se faire remplacer par un confrère, voire deux à mi-temps. Cela lui assure également une rentrée d’argent minimale permettant de couvrir les charges fixes du cabinet et peut-être de lui assurer un petit pécule.
Le remplacement peut prendre deux formes : celle d’un contrat de remplacement à proprement parler, ou celle moins connue du contrat de gérance.

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