54 % des Français ne connaissent pas précisément les politiques de prévention-santé, mais ils sont 80 % à déclarer être attentifs à la préservation de leur santé – le résultat du groupe des médecins étant légèrement inférieur (73 %).
Les Français s’estiment bien informés en la matière (7 sur 10) mais déplorent manquer de temps et de moyens à y consacrer.
Tous s’accordent à considérer la prévention plus efficace que le soin, et le rôle crucial de la sensibilisation aux problématiques, mais pointent à 59 % la nécessité de mesure coercitives (hausse du prix du tabac, etc.).

Santé numérique
Le sondage fait également ressortir une confirmation de la pénétration du numérique, un Français sur trois utilise déjà une « appli » santé, et 40 % mesurent leur activité physique sur smartphone. En tout plus de six Français sur dix ont recours à ces pratiques au quotidien, jugées à plus de 60 % comme des « opportunités pour améliorer la prévention et la qualité des soins ».

Cancers, AVC, maladies cardio-vasculaires
Les informations sur la santé bucco-dentaire arrivent en 18e position (sur 20) dans les domaines prioritaires sur lesquels les moyens doivent se concentrer, prioritaires pour seulement 6 % des sondés. Derrière la prévention des cancers (40 %), les informations sur la AVC (29 %), et les maladies cardiovasculaires (27 %).

Disp. sur www.odoxa.fr/sondage/prevention-sante-france-aujourdhui/
 

FG