Comment avez-vous conçu le programme ?

Il fallait trouver un équilibre entre des conférences consa- crées aux basiques, et des conférences présentant les nouveautés liées à notre thème, «...

L’orthodontie, une spécialité médicale en constante évolution ».

Le thème sera décliné sur deux ans. Pourquoi ?

Le sujet choisi est évolutif et innovant. La décision du plan de traitement et sa réévaluation incombera au praticien fort de son expérience. Le praticien est aussi un chef d’entreprise : que de compétences et d’expertise devra embrasser l’orthodontiste ! Chaque étape du soin est investie par le numérique. La question est de savoir si l’on peut traiter toutes les malocclusions et les dysmorphoses avec un type d’appareillage. Les objectifs thérapeutiques conduisent au choix de l’appareillage et ses accessoires et non l’inverse.

La conférence inaugurale, le 9, devait faire intervenir trois experts hors orthodontie…

Nous devions avoir le Pr Guilleminault, neurologue, malheureusement décédé en juin. C’était un homme extraordinaire, le premier à avoir décrit le syndrome d’apnée obstructive du sommeil. Le Dr Monteyrol, médecin ORL, lui rendra hommage et abordera ce sujet. C’est important pour nous que l’orthodontie reste médicalisée.

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