Les traitements au cabinet dentaire peuvent avoir besoin d’être accompagnés de prescriptions médicales sur ordonnance pour préserver la santé du patient. Avant une chirurgie parodontale, chirurgicale, implantaire, le chirurgien-dentiste prend soin de rédiger une ordonnance de médicaments pour éviter l’infection, limiter les douleurs et l’inflammation et permettre au patient de répondre au mieux à la thérapeutique réalisée en bouche. Dans le cadre de notre exercice au quotidien, des médicaments relevant du domaine de la phytothérapie bucco-dentaire se prescrivent dans l’intérêt du patient avec l’avantage de générer moins d’effets secondaires que l’allopathie conventionnelle. Nous allons traiter un exemple concret à la portée de tout praticien qui aborde la connaissance phyto-aromathérapique en vue d’une pratique raisonnée et efficace.

La phytothérapie moderne

La phytothérapie existe depuis des millénaires. Commençons avec un peu d’histoire : nous faisons tous le serment d’Hippocrate (vers 460-370 avant J.-C.), père de la médecine qui enseignait aux futurs médecins et membres du corps médical de l’époque que « la nature est le médecin des malades ». En clair, il exprimait que dans les plantes pouvait se trouver des principes actifs d’intérêt médical pour prévenir, soigner ou encore pour préserver et maintenir la santé.

Puis, avec le temps et les évolutions, des avancées dans l’approche scientifique, l’approche des recherches fondamentale, clinique, pharmaceutique, médicale, entre autres, vont permettre de passer de la phytothérapie traditionnelle à la phytothérapie moderne.

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