1. Ayez conscience des enjeux

Vous envisagez une bascule vers un exercice exclusif, ou souhaitez vous spécialiser dans une discipline ? Très bien. Mais pour y arriver, encore faut-il déjà que vous acceptiez l’idée de “passer d’un exercice à recrutement direct de patients à un exercice de recrutement indirect”, avertit le consultant en cabinet dentaire Jacques Braun, consultant spécialisé dans les cabinets libéraux et dentaires, fondateur de la société Optimum Ratio . C’est simple, quelqu’un qui veut être exclusif n’a pas le choix, il ne peut...

pas faire sans correspondants”, abonde le Dr Cyrille Rolland, chirurgien-dentiste à Doué-La-Fontaine (Maine-et-Loire), qui consacre aujourd’hui 75% de son activité à la parodontie. C’est un impératif économique : sans ce réseau, vous ne pourrez pas atteindre le nombre de cas nécessaire à la viabilité de votre structure. C’est aussi une condition pour des soins plus qualitatifs. Le réseau, qui repose sur une délégation d’expertise entre l’omnipraticien (expert en prothèses) et le spécialiste (expert en implantologie, endodontie, etc.), permet de mieux soigner les patients, de par la répartition des tâches dans la réalisation du plan de traitement. “L’intelligence collective est plus forte que l’intelligence individuelle”, assure Jacques Braun.

Vous envisagez une bascule vers un exercice exclusif, ou souhaitez vous spécialiser dans une discipline ? Très bien. Mais pour y arriver, encore faut-il déjà que vous acceptiez l’idée de “passer d’un exercice à recrutement direct de patients à un exercice de recrutement indirect”, avertit le consultant en cabinet dentaire Jacques Braun, consultant spécialisé dans les cabinets libéraux et dentaires, fondateur de la société Optimum Ratio . C’est simple, quelqu’un qui veut être exclusif n’a pas le choix, il ne peut pas faire sans correspondants”, abonde le Dr Cyrille Rolland, chirurgien-dentiste à Doué-La-Fontaine (Maine-et-Loire), qui consacre aujourd’hui 75% de son activité à la parodontie. C’est un impératif économique : sans ce réseau, vous ne pourrez pas atteindre le nombre de cas nécessaire à la viabilité de votre structure. C’est aussi une condition pour des soins plus qualitatifs. Le réseau, qui repose sur une délégation d’expertise entre l’omnipraticien (expert en prothèses) et le spécialiste (expert en implantologie, endodontie, etc.), permet de mieux soigner les patients, de par la répartition des tâches dans la réalisation du plan de traitement. “L’intelligence collective est plus forte que l’intelligence individuelle”, assure Jacques Braun.

2. Faites-vous connaître

Comment créer son réseau ? “Il n’y a pas de recette établie, prévient le Dr Jean-Marcel Ghienne, chirurgien-dentiste à Solesmes (Nord), qui a orienté largement sa pratique vers l’implantologie et la chirurgie. En revanche, il y a un ingrédient incontournable : la communication. Faites “savoir votre savoir-faire”, insiste-t-il. Envoyez des mails, des courriers à vos confrères, “ne serait-ce que pour annoncer votre statut d’exclusif”, conseille Jacques Braun. C’est ce qu’a fait Cyrille Rolland : “Pour mes correspondants, j’ai commencé par mes associés. Puis j’ai envoyé un courrier – accompagné d’un cv -, à mes confrères régionaux. J’en ai ciblé 22, leur expliquant que j’étais conscient du fait que le temps exigé par la parodontie était difficile à assumer pour un cabinet d’omnipratique et que s’ils voulaient s’en décharger, je serais ravi de le faire pour eux”. Outre ces courriers, n’hésitez pas à fréquenter des événements où se trouvent des confrères.

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